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Qu’est-ce que c’est CISAO

Créé en 2004, le CISAO (Centre Interdépartemental de Recherche et de Coopération Technique et Scientifique avec l’Afrique) rassemble en un seul centre les différentes compétences techniques et scientifiques présentes dans certains départements de l’Université de Turin en Italie et appartenant à l’ensemble de la société africaine.

Avec ses partenaires, le CISAO construit des connaissances et des solutions pour des territoires et des systèmes agricoles résilients dans un monde plus durable et solidaire. Le Centre mobilise la science, l’innovation et la formation pour atteindre les objectifs de développement durable. En particulier, tous les Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies sont une référence pour le CISAO et la force motrice de ses actions.
Le CISAO représente une grande ressource en termes de diversité de ses compétences, à la fois en matière de domaines scientifiques et disciplinaires variés et de zones géographiques spécifiques. Il met ses différentes compétences au service de tous, des producteurs aux responsables des politiques publiques, afin de promouvoir la préservation de la biodiversité, les transitions écologiques, la durabilité des systèmes alimentaires, la santé (des plantes, des animaux et des écosystèmes), le développement durable des zones rurales et leur résilience face aux changements climatiques, ainsi que le développement durable des zones urbaines.

Les partenaires africains du CISAO comprennent des universités, des centres de recherche, des ministères, des autorités locales, des ONG, des associations et des écoles de différents types et niveaux au Sénégal, au Cap-Vert, au Mali, au Burkina Faso, au Bénin, au Niger, au Tchad, en Mauritanie, au Soudan du Sud, en Tanzanie, en Ouganda et en Tunisie, avec lesquels de nombreuses recherches ont été développées au fil des ans.

LA STRATÉGIE D’ACTION

Plusieurs principes guident l’approche du CISAO :

• Des objectifs partagés pour motiver l’action collective
• L’engagement effectif des parties prenantes, favorisé par des approches de recherche-action, des outils participatifs et un soutien à l’action collective
• La reconnaissance de la nature exploratoire et itérative de l’approche et la nécessité de partager les connaissances, y compris avec les universités et les centres de recherche locaux
• Le soutien aux processus de changement au-delà de l’échelle micro (exploitations agricoles ou d’élevage, installations de transformation, familles, etc.)